(Maria Callas, La mama morta)
La nouvelle tribune de l’armée, de la part de soldats d’actives cette fois, fait trembler encore plus les factieux du gouvernement bien qu’elle ne soit pas officiellement publiée à l’heure où j’écris ces quelques lignes.
Que n’avons-nous pas tenté d’alerter depuis des années ce qui est devenu un fait aujourd’hui ?
Fallait-il que nos courageux soldats prennent eux même la plume pour qu’on entende enfin une réalité qui hurle dans le désert idéologique et destructeur de la bienpensante islamo-gauchiste ?
Mais ils ne veulent rien entendre. Même pas leurs propres mensonges. Même pas leurs propres défectuosités. Même pas leurs erreurs. La dictature macroniste c’est mise en marche parce que l’on a joué sur la peur ancienne des français, parce que l’on a joué le jeu, encore, d’une Europe de papiers aux mains pleines de sang. Et ce sang, ce sont nos agriculteurs qui le versent, nos soldats qui le perdent, nos Forces de l’Ordre qui en paient le prix.
Et pour quoi ? Parce qu’on associe sans réels et autre motifs les volontés de faire grandir notre pays, de prendre soin de notre patrie en la défendant, et d’en faire une terre non plus d’asile mais de colonisation.
Non content d’asséner un fait, nos militaires ne font qu’alerter une fois de plus sur notre avenir, sur le devenir de notre patrie, rejoignant les voix de cette « extrême droite » que l’on désigne à la vindicte pour se donner bonne conscience et qui tente d’alerter, sous les coups de la dictature, sur ce même état de fait.
J’ai dit « dictature » ? Oui. Et je l’assume. Quand un gouvernement cloue la liberté d’expression sur les portes de granges, quand il condamne et emprisonne les opposants, quand il utilise les milices pour instiller la peur, c’est alors un pays sous dictature.
Et alors que l’on nous brandi à la face comme des lois divine la Constitution, on viole cette grande dame sans consentement dans des accès de gérontophilie cyniques pour asservir un peuple qui ne parle que de liberté.
« La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres « . Il n’est rien de plus vrai aujourd’hui quand on interdit le blasphème, la rhétorique, l’opposition des uns pour que les autres soient plus libres de haïr, de condamner, d’humilier et d’insulter.
Racisme ? Quel racisme ? Le seul « racisme » qui a lieu aujourd’hui est dirigé contre les « blancs ». Et certains estiment qu’il n’y a pas de racisme à dire « sale blancs », « salaud de français », « fromage blanc », etc. Encore une fois, cette volonté de garder des œillères qui bouchent la vue et l’ouïe.
Policiers assassinés, caillassés, incendiés. Pompiers caillassés et insultés. Personnels soignants frappés et insultés. Français ostracisés, pays humilié, trompé et haï par ceux-là même qui ont pourtant mandat de le défendre et de le protéger.
Continuez donc à croire les organes soumis à la volonté de cette bien-pensance qui vous dit qui détester et qui haïr. Car si on parle tant de « violences policières« , ce n’est pas tant pour vous protéger, soi-disant, mais pour pouvoir vous imposer la haine de ceux contre qui, justement, nos Forces de l’Ordre et notre armée nous protègent.
Et je suis consterné de voir tant de gens bien se fourvoyer dans cette haine voulue des autres, dans cette division des uns les autres, dans cette acceptation de la soumission à l’islamo-gauchisme.
Parce que la racaille, les radicalisés veulent détruire notre système, notre mode de vie, notre culture, ils doivent abattre nos Forces de l’Ordre, notre armée, afin de pouvoir assouvir leurs plus vils instincts moyenâgeux.
Et quand vous prenez faits et cause contre les Forces de l’Ordre, vous faites le jeu de vos pires ennemis. Vous faites le jeu de la guerre civile à venir. Vous faites le jeu de la destruction de notre pays.
Et l’on pointe d’un doigt tremblant, hier les Forces de l’Ordre, aujourd’hui notre armée que l’on humilie devant ceux qui détestent la France en reconnaissant des faits imaginaires, en cherchant à plaire à l’ennemi déclaré de la France. On accuse notre armée d’avoir fait son devoir, son travail, d’avoir obéie aux ordres. Et aujourd’hui qu’ils osent, non pas de désobéir mais de s’affranchir du bâillon imposé, on parle de désobéissance, de tentative de « putsch« , de déstabiliser notre pays pourtant déjà vacillant, en énonçant ce qui est et restera un fait.
Demain, on vous dira de détester nos soldats, comme ils l’on fait de nos Forces de l’Ordre.
Et vous le ferez tant vous êtes convaincu des arguments fallacieux qui vous pousse à détester les « flics ».
La France, alors, sombrera dans une guerre civile sanglante ou les pires crimes seront commis, les uns au nom d’Allah, les autres au nom de la France.
Et on demandera alors à nos soldats de prendre parti, à nos Forces de l’Ordre de rétablir l’ordre, sans chercher à faire quelque mea culpa, sans reconnaître une seule fois que l’on s’est laissé tromper consciemment, toute honte bue.
Et ils seront les héros adulés, applaudis, pour être encore plus détestés ensuite.
Le berceau de mon enfance est en flamme, ma France est en flamme, est on interdit aux pompiers d’éteindre l’incendie…
R.P.
2 réponses
Et c’est gens aux responsabilités qui insultent nos soldats et généraux alors qu’eux même n’ont jamais risqués leurs peaux pour la patrie. La grande majorité d’entre eux n’ont même pas fait leur service militaire. Macron chef des armées pfffffff il ne sait même pas tenir un fusil. Consternant.
Ah oui j’oubliais Merci pour l’article.